à fuir. Expérience traumatisante :
AprÚs trois jours de douleur intense, le docteur a eu la brillante idée de boucher ma plaie infectée avec de la pùte de clou de girofle. Pendant ce temps, j'ai souffert de palpitations cardiaques et de fourmillements dans les mains.
Ceci sâest dĂ©roulĂ© dans un contexte oĂč le docteur a refusĂ© d'extraire les trois autres dents. Il a arrachĂ© quâen seule dent, malgrĂ© lâordonnance de mon orthodontiste. Il jugeait les autres extractions inutiles. AprĂšs insistance durant deux rendez-vous, il a ensuite Ă©voquĂ© Ă©ventuellement une extraction sous anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale.
Au bout de 3 jours de souffrance intense, je me suis présentée à son cabinet cet aprÚs-midi. Il m'a assuré que la douleur était normale et qu'elle diminuerait à partir du 5e jour.
Il est resté silencieux lorsque j'ai affirmé que ma fille avait pourtant arraché quatre dents de sagesse simultanément, en anesthésie locale et sans ressentir de douleur.
AprĂšs avoir endurĂ© sans rĂ©pit cette douleur avec un cocktail dâanti-douleurs, je commence Ă mâinquiĂ©ter. Je dĂ©cide sous les conseils de mon orthodontiste de me rendre aux urgences dentaires le soir mĂȘme.
Il sâagissait donc dâune infection. Ayant Ă©tĂ© mal informĂ©e de la procĂ©dure Ă suivre aprĂšs lâextraction, j'avais des morceaux de nourriture dans ma plaie. Comment expliquer que le dr Azoulai n'ai pas eu lâair de remarquer le problĂšme plus tĂŽt dans la journĂ©e ?
Il nâa pas pris le temps de nettoyer la plaie oĂč des rĂ©sidus Ă©taient coincĂ©s, ni mĂȘme de mâinterroger sur mes soins.
Il s'est contentĂ© de boucher la plaie avec de la pĂąte de clou de girofle et m'a renvoyĂ©e chez moi. La douleur Ă©tait tellement accablante que j'en avais oubliĂ© mon portefeuille. Il nâa par contre pas oubliĂ© de me demander de revenir avec ma carte vitale.